Mon installation poétique sur la montée des eaux suite au réchauffement de la Planète: "WHERE DE TIDES EBB AND FLOW" vient de commencer avec succès au Festival Sentier du Rhône
Elle est installé dans le Port du Cruas du 10 mai jusqu'à le 31 août.
Bonne visite!!!
Lien directe avec la Mairie de Cruas:
http://www.cruas.com/
Voici les premières réactions dans de la presse locale:
Article apparu dans le journal LE DAUPHINE LIBÉRÉ , édition du 14/05/2009
Cliquer sur le LOGO pour voir l'article original avec ces photographies
CRUAS:
Une exposition surprenante : de grands bonhommes bleus dans le lit du Rhône
Jeudi 7 mai 19 heures. Pedro Marzorati, à peine arrivé en fourgonnette de Paris, se jette dans l'eau du port de Cruas pour un repérage des fonds. Après un appel à projet fructueux, son offre a été retenue en fin d'année dans le cadre du "Sentier du Rhône", un projet d'art contemporain qui associe Viviers, Le Teil et Cruas sur le thème "Des ports et des ponts". L'aboutissement d'une gestation d'un an entre les 3 villes et le Département.
« Que les habitants de la vallée du Rhône se réapproprient le fleuve ». Telle est la toile de fond de cette exposition triptyque qui a été officiellement inaugurée dimanche (à 17 heures à Viviers, à 18 heures au Teil et à 19 heures à Cruas). À Viviers, c'est le Polonais Maciej Fiszer qui a réalisé son œuvre au port ; au Teil, Catherine Arto a habillé le pont qui franchit le Rhône. Un projet qui aura fédéré les villes avec les participations financières de la Compagnie nationale du Rhône, du Département et du Pays de l'Ardèche méridionale. Le tout rendu possible grâce à l'implication des associations locales et des habitants.À Cruas, l'accent aura été mis sur le réchauffement climatique et l'évolution possible du niveau des mers. Les
bustes d'un bleu métal implantés en arc de cercle, mettent en scène la montée des eaux que nous promettent les experts, estimée entre 17 et 49 cm d'ici à la fin du siècle. Réalisés à partir d'un automoulage en résine de l'artiste, les bustes sont immergés à des profondeurs différentes. Une platine métallique posée au fond de l'eau permet de stabiliser et régler les hauteurs des bustes. Ce qui oblige l'artiste argentin à faire montre d'un autre talent. Celui de plongeur en apnée. À voir absolument, à une encablure de la capitainerie.
« Que les habitants de la vallée du Rhône se réapproprient le fleuve ». Telle est la toile de fond de cette exposition triptyque qui a été officiellement inaugurée dimanche (à 17 heures à Viviers, à 18 heures au Teil et à 19 heures à Cruas). À Viviers, c'est le Polonais Maciej Fiszer qui a réalisé son œuvre au port ; au Teil, Catherine Arto a habillé le pont qui franchit le Rhône. Un projet qui aura fédéré les villes avec les participations financières de la Compagnie nationale du Rhône, du Département et du Pays de l'Ardèche méridionale. Le tout rendu possible grâce à l'implication des associations locales et des habitants.À Cruas, l'accent aura été mis sur le réchauffement climatique et l'évolution possible du niveau des mers. Les
bustes d'un bleu métal implantés en arc de cercle, mettent en scène la montée des eaux que nous promettent les experts, estimée entre 17 et 49 cm d'ici à la fin du siècle. Réalisés à partir d'un automoulage en résine de l'artiste, les bustes sont immergés à des profondeurs différentes. Une platine métallique posée au fond de l'eau permet de stabiliser et régler les hauteurs des bustes. Ce qui oblige l'artiste argentin à faire montre d'un autre talent. Celui de plongeur en apnée. À voir absolument, à une encablure de la capitainerie.
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